Ce que nous manque: une vitre, un lunch, et des yaks

C'est dimanche apres-midi, les rickshaw-wallahs s'ennouient ... une raison pour les touristes de se gater avec une tarte au 'German bakery' de Delhi. Le temps lourd et l'air epais facilitent pas la composition des phrases en francais a partir des evenements vecu en anglais (en mange des snakes, des sandwitches, and fired eggs) et enregistre dans nos cervelles en allemand.

 

Notre histoire commence a l'air fraiche a 5200 m, a temperature agreable. Nous nous sommes payes un bus deluxe pour le voyage de Leh a Manali, car on nous a dit que les chauffeurs mieux payes peuvent se permettre de conduire plus lentement et prudamment. Pendants ces deux jours on devrais surmonter trois cols, dont le plus haut a 5200 m.

Haarscharfe Ueberholmanoever Unser verschneites Nachtlager

Mit dem Hammer wird unser Bus repariertLe moteur de notre bus transpire et tousse au bout du souffle. Avec une lenteur incroyable nous gagnons de l'altitude. Seulement a la descente quand le moteur se taisait nous apprenons de la souffrance de notre chauffeur. Il arrete le bus pour cracher et tousser et s'endort pendant chaque pause de pipi.

L'excitement des permiers manouevres au bord de la precipice se transforme de plus en plus en peur. Pas pour rien: le bout d'un camion petrolier pete la vitre, les debris de verre finissent sur la tete, les genoux et dans les bottes de Michi. Il se rejouit un moment de la belle vue avant qu'il se rend compte qu'il fasse froid a 4500 m. Un sac vide de riz fixe avec des epingles de surete et un peu de cellotape, represente desormais la vue de ce trajet dit spectaculaire. Resultat pas inattendue: Michi souffrais d'un rhume pendant le prochain trek dans la vallee de Spiti au Himachal Pradesh.

Ein Reissack soll Fahrtwind, Abgase und Kaelte abhalten D'Abgas, das isch s'Schlimmschte!

Farbnuancen in der LandschaftSpiti est une region qui etait ouvert au tourisme il y a 10 ans. Depuis des routes etaient construites qui lient la capitale Kaza et les villages environnants au reste de l'Inde. Ces achevements permettent le transport des biens de construction comme le bois et le ciment qui font developper cette capitale miniscule au centre touristique. On a fait organiser un trek par une des deux permieres agences de voyages encore en construction (au niveau de l'interieur du bureau et au niveau d'experience). Dans le village tibetain de Mudh, notre point de depart, on apprend le premier changement par rapport a l'arrangement de notre agence: a la place  des Yaks des anes porterons nos baggages. Bien qu'on a du payer cher pour ces yaks...

Apres un repas traditionel on se met en route vers le Tarik La, un col de l'arete principale de l'Himalaya. Vegetation et geologie changent. Au lieu des pierriers, qui dominaient Ladakh et Spiti main valley, nous decouvrons plus des 'vraies' montagnes en granit avec sommets enneigees, des glaciers et piliers piquants. La vue reveille l'envie en Michi de faire une expeditions sur un de ces geants inconnus.... La journee de franchir le col etait le premier jour entier qu'on a passe avec nos guides, qui etaient aussi responsables pour le bien culinaire de nous et des anes. Tandis que les anes recevaient les pains fraiches fait maison pendant la montee nous devrons nous contenter avec un chewing gum, un bonbon, un biscuit et un peu d'un gateau sec. Apres 9 heures de marche notre reserve de 'Farmer' et fruits secs pour 4 jours etait epuisee et Karin dans un mauvais humeur due a un creux immense....

Unsere Esel Zwei Esel auf dem Tarik La :-)

Zelt am FlussLe trek continuait vers le Kinnaur, une region touchee par le mousson. La premiere fois depuis 5 semaines on marchait dans des forets et des paturages etendus. Les aigles tournaient au-dessus de nous. D'observer ce changement dans tres peu de distances etait magnifique: Le climat, la geologie, mais aussi la religion et la langue des habitants.

Et voila, nous sommes de retour dans la plaine. Avec deux trajets enchaines nous avons passe les 600 km de la montagne en moins de 22h. Faites vos calculs!!! Mais nous n'allons pas trainer: C'est le Rajasthan qui nous attend, avec des trajets en train. Esperons qu'ils se presenterons moins enervants que le bus!

Et encore une histoire culinaire pour nos amis francais: connaissez vous le 'french breakfast'? Croissant, the ou cafe, et une cigarette. Vivent les 'German bakeries'!

 
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